Salut ! Je suis bien content(e) d'être parmi vous, mais puisque vous ne me connaissez pas, je vais me présenter en quelques mots... Alors, pour commencer mon prénom c'est Justine. J'ai 23 ans et je suis un(e) insupportable petit(e) fille. Ce personnage est mon 1er compte sur Cripple Creek et je peux assurer en moyenne une présence de 7 jours par semaine. Je peux également vous affirmer que j'ai lu le règlement ! La preuve, le code c'est Validé par Chris . Enfin bon, pour terminer, n'oubliez pas d'aller lire l'histoire de mon personnage, elle se trouve dans le message suivant !

Je m’appelle Artemis Elona Caldwell, fille de Venus et de Zephyr Caldwell. J’ai vécu à Hawaï une bonne partie de mon enfance, et surtout de ma vie. J’ai toujours vécue heureuse sur mon caillou, un caillou qui recèle tout de même quelques parts d’ombres. Mes parents faisaient tout pour que je sois en sécurité et pour cause, ils étaient sorciers. Mon père était un chasseur et voulait que je sois forte, comme lui. Il m’entraînait dur, malgré tout, je ne voulais pas être comme lui, je voulais vivre ma propre vie, comme ma mère, bien que mon père s’y opposait et nous avions eu beaucoup de disputes, surtout quand j’ai commencé à devenir adolescente. Ma mère nous observait en train de nous prendre la tête, je partais dans ma chambre après un « je te déteste » et BOUM je claque la porte. Souvent, ma mère stoppait son mari pour lui faire « non » de la tête. Doucement, elle entrait dans ma chambre alors que je pleurais. Ma mère était toujours neutre, comprenant les deux parties, elle voulait qu’on se comprenne l’un et l’autre. Elle me grattait souvent le dos, m’embrassait le front et doucement, je m’endormais dans ses bras après qu’elle me chante une chanson. Même ado j’étais sa petite fifille. Mes parents préféraient discuter que se prendre la tête entre eux, ils étaient réellement les parents modèles. Ma mère passait son temps à rire, être joyeuse et totalement barge. Tous crurent qu’elle avait une maladie mentale, hors ce n’était pas le cas. Elle respirait la joie de vivre. J’aimais son énergie, sa joie, son authenticité. J’aimais ma mère. Mon père était plus dur, très famille, très traditionaliste. Il était parfois sévère, mais parfois adorable, on s’entendait bien, malgré quelques sujets tabous. A la longue, il finit par me laisser faire mes propres choix et en fut tout aussi fier. Ma mère avait cette confiance aveugle en moi. Elle savait que j’étais forte. Et puis, elle m’entraînait à la magie, elle se doutait que je pouvais utiliser mes dons pour aider autrui. Et tenir les vampires loin de moi. Quoi que pas à seize ans non plus. J’étais quand même protégée par mes parents et je me souviens d’une vampire qui avait tenté de me croquer une nuit, alors que je rentrais de cours. Ma mère était intervenue à temps, fut blessée au cou, mais je ne l’avais jamais vu ainsi. Protectrice, bornée, allant jusqu’au bout. On ne touche pas à sa fille avant d’en faire les frais d’avoir. La vampire y avait conclu à ses dépends. C’était simple : si elle me touche, ma mère la chercherait et la tuerait à petit feu. Ma mère est une sadique avec ce genre de « bestiole ». En même temps, à cause des vampires, elle avait perdu sa sœur aînée et ne voulait plus jamais perdre un membre de sa famille. Mon père ? Il est juste pire que ma mère contre les vampires. Il les tue comme un barbare. Je ne l’ai pas vu pour le savoir. C’est donc dans un climat surnaturel que j’ai vécu ma vie, au lycée j’étais perçue comme la fille du couple bizarre, on me laissait tranquille, car je leur faisais peur, je m’en fichais, je trouvais ça drôle. J’avais des amis, rares amis, qui connaissaient ma nature. Ils trouvaient ça cool. Il y a une chose en tout cas que j’avais voulu faire c’était devenir Pom Pom Girl. J’ai failli entrer dans l’équipe, mais quand on m’a demandé de choisir entre les Cheeros et mes amis, mon choix fut vite fait. Mes amis. Depuis ? Bah, je vivais ma vie en bon train. Heureuse avec mes amis, partant sur la plage pour surfer sur les vagues, faire même des concours de surfs, c’était un de mes passes temps favoris

Et puis, le lycée se termina et je suis partie étudier pour devenir infirmière, d’ailleurs un de mes formateurs étaient un grand médecin, il remarqua rapidement mes compétences et puis, contrairement aux autres, je ne tombais pas dans les pommes, et je ne vomissais pas. Je m’appliquais pour ce que je devais faire, je voulais comprendre, je voulais savoir, je voulais soigner. Mon père fut le premier surpris de mon choix, il pensait que j’allais faire autre chose, mais ma mère savait et m’assurait que j’avais l’étoffe d’une soignante. Elle m’aida à user de la magie pour sauver des vies. Chose que je fis en secret. Dans l’ombre. Enfin, quand je le pouvais. Mais il y avait certaines maladies que je ne pouvais guérir. Et oui, ça me demanderait énormément d’énergie et dans ma carrière d’infirmière, que se soit interne ou non, j’ai beaucoup pleuré et fut très attachée à mes patients. Chaque fois, je me sentais inutile. Mais je faisais tout pour être utile. D’ailleurs, je voulais gravir les échelons et être bien plus qu’une simple infirmière. Mes supérieurs étaient fiers de moi et me disaient que j’étais un noyau important, que j’étais une très bonne infirmière. Quand j’allais dans le bureau de mes chefs, c’était toujours pour des compliments et on me demandait d’épauler des nouveaux. Je prenais mes responsabilités à cœur. Et puis un jour, on m’appela. C’était un couple, ils avaient besoin de mes services. En effet, mon formateur était un de leurs amis et il leur avait fait part de mes compétences. J’en fus touchée, honorée et surprise. Sachant que je devais bouger d’Hawaï pour l’Europe, je vous avoue que j’étais assez réticente au début. Cependant, mon formateur m’a beaucoup parlé et m’a conseillé de partir. Pour que je puisse voir le monde autre que de mon caillou. Finalement, j’acceptais avec modestie de les aider. Je suis donc partie pour Criple Creek. Le couple m’accueillit, mais je n’étais pas seule à être arrivée, puisqu’un majordome, Vladimir, arriva en même temps que moi. Là, j’appris que je ferais rencontre de leur fils, Lysander Silverstein, bien plus tard. Et quand il est revenu chez lui, je suis dès lors devenue son infirmière personnelle. Cependant, après les soins de Lysander, je m’ennuyais très vite chez eux, et oui j’y vis puisque j’ai une chambre. Alors on me permit de travailler à mi-temps dans l’hôpital de la ville, ce qui me permet aussi de sauver des vies, comme de m’occuper du jeune Lysander. Je fis la rencontre d'Erwan, sont frère aîné. Ce dernier me demanda un service : de m'occuper de son frère. Les deux hommes étaient très proches l’un et l’autre et je voyais bien qu’Erwan était très protecteur vis-à-vis de Lys’. D’ailleurs, Erwan m'avait laissé faire comprendre qu'il n'aimait pas trop le majordome, Vladimir. En parlant de lui, j'ai beaucoup de mal à le cerner, il joue sur plusieurs tableaux niveau caractère et je ne sais pas sur quel pied danser avec lui. J'avance doucement avec lui pour tenter de pouvoir mieux le comprendre, même s'il me donne du fil à retorde !